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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Beltaine
30/09/2005 19:56
Beltaine
Lune éclatante Déesse lumineuse Répand ta lumière sur l'homme. Lance ton appel, Viens vers moi Comble à nouveau ma Vie. Rêve de merveille, Accomplissement. Caresse ma joue Caresse mes cheveux Sombre pré, Pré parfumé Nous y trouverons l'amour Sans honte, sans ornement A l'exception d'un torque d'or, Unissons-nous enfin Comme dans les temps anciens. Mots enfiévrés, Front enfiévré Que j'apaiserai de mes caresses Au bout du temps, au fin fond de l'espace. Je me languis de toi! Je deviens la Déesse, Deviens le Dieu; Entrelacés dans cette danse effrenée. Honore les, honore nous, Ma coupe à ta lance J'avais offert. J'offre maintenant. Viens et abreuve toi, mon doux amant. Au travers des éons Au travers des ans, Encore et encore nous nous retrouvons. Je suis toutes les femmes, Tu es tous les hommes, Enlacés pour l'éternité. Tourne la roue, tourne la roue, et tourne encore vers moi.



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Le Corbeau
30/09/2005 19:32
Le Corbeau
Il y avait une fois un grand chef de tribu, très riche et très puissant. Ce grand chef avait une fille belle comme la Lune en son plein. Mais ce chef était un homme égoïste.
Un jour, il décida qu'il voulait garder pour lui seul la Lumière du jour et de la nuit.
Alors, après avoir retiré du ciel la lumière du soleil et de la lune, il l'enferma dans un coffre qu'il garda précieusement dans son tee-pee.
Puisqu'il avait volé la lumière du ciel, les ténèbres envahirent la terre et les hommes, et le coeur des hommes.
Mais le Grand Corbeau apprit qui avait dérobé la Lumière aux hommes.
Il se rendit chez le puissant chef pour lui demander de rendre la lumière à tous les peuples de la terre. Le chef refusa
Alors le Grand Corbeau réagit. Il vit que la jolie fille du Chef, dont le nom était Haïda, tous les jours se rendait à un petit ruisseau pour y puiser l'eau de la journée.
Alors, un bon matin, il se cacha non loin du ruisseau et attendit la venue d'Haïda. Quand il la vit venir, d'un sentier sortant du village, il s'empressa de prendre la forme d'un très petit poisson.
Après que la fille du Chef eut emplit son seau bien plein, elle prit un gobelet de terre cuite pour s'abreuver de l'eau pure et fraîche du ruisseau...
C'est alors que le Grand Corbeau, transformé en petit poisson, se laissa prendre dans le gobelet et entra dans le corps d'Haïda au moment où elle porta l'eau à ses lèvres.
C'est ainsi que la jeune fille devint enceinte au moment où le Grand Corbeau se transforma en un bébé dans son sein.
Après neuf lunes, Haïda donna naissance à un garçon qui en fait était le Grand Corbeau. Le bébé grandit rapidement et devint vite un bambin très vigoureux.
Un jour, le jeune garçonnet se mit à pleurer car il désirait quelque chose. Alors le grand-père,le Chef, lui demanda ce qu'il voulait. Le garçon lui montra le coffre dans lequel étaient enfermés le soleil et la Lune... Alors le Chef, pour le faire taire, lui accorda son désir.
C'est alors que le Grand Corbeau reprit sa forme première, ouvrit le coffre avec son bec et laissa le Soleil et la Lune reprendrent leur place dans le ciel qui couvrait les hommes et la terre.
Et depuis, il se tient à la cime des grandes épinettes, pour surveiller que le Chef ne dérobe à nouveau la Lumière aux hommes. Et c'est ainsi que depuis ce temps la Lumière est dans le coeur des hommes et dans le ciel qui couvre la terre.
...Légende autochtone nord-américaine
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Sérénité
30/09/2005 18:56
Sérénité
Des brumes secrètes pénètrent mes ondes Un peu de vent hante la course des heures Et j’entends palpiter mon cœur qui succombe.
Dans le labyrinthe de ma vie en fleur Sous le joug de l’impatience qui m’obsède Je cherche un sourire détournant les pleurs.
Les nostalgies de nuages se succèdent, Les pétales de nuit s’envolent, vient le jour, Et un fragment de lumière le précède.
Toutes les portes fermées à double tour Ne sont que de blêmes façades écroulées Devant notre douce amitié de velours.
J’entends le silence, par tes étoiles, apaisé, L’eau de la fontaine chante si mutine, Un beau soleil offrant ta sérénité…
De roses fleurs de tendresse en serpentine.
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BALLADE DU PETIT PRINCE
30/09/2005 18:44
En panne au désert de ma vie Un œil en étoile filante… L’heure des sentiments indécis Au pays des larmes, me hante, Là où les fleurs, si rayonnantes Naissent et choisissent leurs couleurs ; Avec les étoiles brillantes, On ne voit bien qu’avec le cœur !
Les battements de mon cœur crient EN ECHO, en écho… amante, Dans les bruyères assoupies, En robe d’épines déchirantes.vonsoir Je me croyais fleur importante, Unique au jardin de ton cœur Beauté des brumes frissonnantes. On ne voit bien qu’avec le cœur !
Il est temps d’envoûter la nuit Et apprendre à être patiente Qu’on m’apprivoise à l’infini Comme le renard te le chante. Mon âme devient terre ardente Ta présence instant de bonheur Tes traces de pas si différentes. On ne voit bien qu’avec le cœur !
Petit Prince, dans la tourmente Efface de mon âme le malheur Et tends moi ta main caressante. On ne voit bien qu’avec le cœur !
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